80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Au cours d'un premier voyage en Asie centrale, Jacques Gourguechon s'est avancé à cheval jusqu'au débouché du corridor du Wakhan, en vue du Pamir. Mais ces solitudes, que parcoururent jadis Marco Polo et Sven Hedin, sont alors classées «zones stratégiques frontières» par l'URSS. Et l'impossible se produit : la dislocation de l'Empire soviétique. Le colossal empire du Turkestan, conquis par les Russes au XIXe siècle, se retrouve indépendant. Alors Gourguechon, invité par une fondation pour le développement de la musique Tadjik et avec la bénédiction d'une société philanthropique au Kirghizstan, retourne au Pamir. Il débarque à Doushambe, une des villes les plus mystérieuses d'Asie, la capitale du Tadjikistan. Le Pays est ravagé par la guerre civile. À Khorog, il apprend l'enlèvement d'une jeune fille, vendue pour trois mille dollars et disparue dans la nuit de l'Afghanistan. Il traverse le Grand Pamir, longe la frontière du Sinkiang chinois, suit la Voie royale entre le lac Issyk Kul et Frunze et s'enfonce dans les Tien Shan. Les trains le conduisent aux confins de la Chine et sur les bords de la mer d'Aral. Il va seul, accompagné du souvenir de Nerval.
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