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Volta signifie en portugais tout à la fois autour, retour, balade, mais aussi changement. Les photographies de Gabrielle Duplantier sont à l'image de ce mot : erratiques, traversées de figures fascinantes, discrètement ancrées entre réel et fiction. Ses déambulations la ramènent toujours au pays natal et aux personnes chères, et ses photographies, à la fois crépusculaires et lumineuses, sont autant d'énigmes qui relient les êtres aux lieux.
«Gabrielle Duplantier semble pratiquer la photographie en cavalière, en danseuse, en escrimeuse, autrement dit allurée, le vent dans les cheveux, le regard droit, le mouvement vif, délié?; elles rallient ses images qui tissent ensemble la fougue et la grâce?; elles rappellent que photographier est ici un art du geste.» extrait de la préface de Maylis de Kerangal.
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