80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Volta signifie en portugais tout à la fois autour, retour, balade, mais aussi changement. Les photographies de Gabrielle Duplantier sont à l'image de ce mot : erratiques, traversées de figures fascinantes, discrètement ancrées entre réel et fiction. Ses déambulations la ramènent toujours au pays natal et aux personnes chères, et ses photographies, à la fois crépusculaires et lumineuses, sont autant d'énigmes qui relient les êtres aux lieux.
«Gabrielle Duplantier semble pratiquer la photographie en cavalière, en danseuse, en escrimeuse, autrement dit allurée, le vent dans les cheveux, le regard droit, le mouvement vif, délié?; elles rallient ses images qui tissent ensemble la fougue et la grâce?; elles rappellent que photographier est ici un art du geste.» extrait de la préface de Maylis de Kerangal.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année