"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Septembre 2008, la crise mondiale sans précédent de la dette privée entraîne la faillite de la banque d'investissement américaine Lehman Brothers.
Juillet 2011, la crise s'est étendue à la dette souveraine et menace plusieurs Etats européens de faillite. Dans les textes ici rassemblés (2007- 2010), Robert Kurz montre que le capitalisme n'est pas victime d'un déséquilibre momentané, mais d'une contradiction interne qui le conduit à son effondrement inexorable. Il montre comment, dans ce contexte de crise finale, les diverses politiques économiques sont vouées à l'échec.
Comment la gauche officielle participe à la gestion de crise. Et comment les solutions avancées par les « anticapitalistes » autoproclamés sont autant d'impasses (rien d'autre, selon lui, qu'un néo-capitalisme d'Etat). Enfin, Robert Kurz s'emploie à critiquer les formes de conscience constituées par le capital, c'est-à-dire l'idéologie qui fait que les hommes ont intériorisé les conditions de vie capitalistes comme les seules possibles et, pour cette raison, ne peuvent imaginer d'en sortir.
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