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S'inscrivant dans la lignée de Man Ray, László Moholy-Nagy, ou encore d'Anna Atkins, Henri Foucault considère le photogramme comme étant l'expression photographique originelle. Invité par le musée des Impressionnismes de Giverny à participer à l'exposition « Photographier les jardins de Monet » (2015), Foucault s'est donc naturellement tourné vers son procédé de prédilection pour livrer une interprétation et une évocation du jardin d'eau.
L'ensemble est composé comme un herbier de rayographies lumineuses, et en mouvement, des plantes et feuilles récoltées, dans lequel les pages, liées par une reliure amovible, deviennent des planches botaniques. Les empreintes d'ombres et de lumière évoquent ici, selon l'auteur, les vibrations du vent sur la végétation, et rendent hommage aux scintillations de la peinture de Monet. Dans un voyage poétique à travers le temps, le texte inédit de Bertrand Schefer, invite à s'interroger sur la notion de paysage et de nature, et questionne le rôle de la photographie à travers l'un des procédés les plus anciens de l'histoire.
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