Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Calme, ridée, belle, agitée, forte, grosse, énorme : comment décrire la mer ? Il y a tant de paramètres à prendre en compte si on veut le faire de manière scientifique. Le vent, la lune, la forme des côtes, les fonds, la pression atmosphérique, le degré de salinité, le climat, la latitude, et puis quoi d'autre encore ? L'Anglais Douglas ne s'est pas embarrassé de tous ces critères pour analyser l'état de la mer, il n'en a retenu qu'un seul : l'action du vent. D'après sa classification, la mer est belle avec des vagues comprises entre 10 et 50 cm, elle est agitée si elles sont entre 1,25 et 2,50 m. C'est simple, c'est précis, tous les bulletins de météo marine s'y réfèrent. Mais qu'en disent les poètes et les peintres ? C'est si compliqué, la mer.
Loin de toute scientificité, notre auteur aquarelliste a décidé de peindre à sa manière la mer de son Cotentin, en ne faisant confiance qu'à ses pinceaux sino-japonais et à sa fine peinture anglaise. Cela donne une quarantaine d'aquarelles figuratives ou quasi abstraites, mélancoliques ou gaies, sages ou déchaînées, à l'image des vagues. Chaque état de la mer est accompagné d'une description drôle et pleine d'esprit et de dessins croqués sur le vif dans toutes les mers du monde. Qu'il soit originaire du cap de la Hague ou de Biarritz, de Brest ou de Toulon, le lecteur y reconnaîtra sa mer et ses humeurs vagabondes.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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