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Une Française dans la tourmente Berlin : 1944-1945

Couverture du livre « Une Française dans la tourmente Berlin : 1944-1945 » de Philippe Randa aux éditions Deterna
  • Date de parution :
  • Editeur : Deterna
  • EAN : 9782360060603
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Une Française dans la tourmente Berlin : 1944-1945 est un témoi­gnage exception­nel et poignant sur les horreurs vécues par les popu­la­tions civiles allemandes, ainsi que par les travailleurs français et euro­péens séjournant à Berlin, à la fin de la IIe Guerre mondiale ; il témoigne également,... Voir plus

Une Française dans la tourmente Berlin : 1944-1945 est un témoi­gnage exception­nel et poignant sur les horreurs vécues par les popu­la­tions civiles allemandes, ainsi que par les travailleurs français et euro­péens séjournant à Berlin, à la fin de la IIe Guerre mondiale ; il témoigne également, hors de toute passion politique, sur le crépuscule d'un Reich qui prétendait durer 1 000 ans et dont le territoire, de jour en jour, rétrécissait comme une peau de chagrin sous les coups de bou­toir des armées anglo-américaines à l'ouest et soviétiques à l'est.

Pour­tant, face à l'encer­cle­ment par l'ennemi, le peuple allemand résiste jusqu'à l'ul­time limite : depuis les jeunesses hitlériennes déblayant les décombres, secou­rant les blessés et enterrant les morts jusqu'aux vieillards qui se dres­sent, le Panzerfaust à la main pour arrêter les chars de l'invasion rouge...

Après avoir survécu aux bombardements anglo-saxons, Odette D. est « vendue » pour quel­ques boî­tes de conser­ves aux soldats rus­ses vic­torieux... Puis c'est la décision du retour vers la France : les camps et les trains de rapa­triement, les formalités administra­tives, la promis­cuité encore et toujours, les compagnons de misère et d'infortune...

Le pire, Odette D. va le découvrir lorsqu'elle débarquera sur les quais de la gare, à Paris : ac­cusé de trahi­son, menacée d'être fusillée, son crime est d'avoir toujours refusé les éti­quet­tes, quelles qu'elles soient, dont Allemands, Soviéti­ques, Anglais ou ses pro­pres compa­triotes ont tou­jours cherché à l'affubler. En 1945, un pays qu'elle aimait tant, le sien, ar­borait le visage hideux de la haine... Celui qu'elle n'avait ja­mais ren­contré dans la tourmente.

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