Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
Déplacement, fuite, environnement, danger, unique solution: aller dans l'unique espoir de pouvoir recommencer une vie ailleurs, simplement recommencer, pas d'autre choix. Mais quelle est la vision des autres pays sur cette migration forcée due à la destruction de l'environnement?La vie des uns ne doit - elle qu'être calculée en apport numéraire obligée des pays d'accueil? Est ce possible pour les autres pays de voir au delà de cette limite? Le monde en prend conscience des changements environnementaux en Afrique, sans aucune réaction pensant que la distance entre eux et ce continent, est l'assurance que les problèmes actuels de ces populations ne sont pas un problème auquel l'humanité entière doit faire face. Pourquoi cette indifférence des décideurs politiques nationaux et internationaux? Est-il possible d'élaborer un statut juridique particulier pour les réfugiés écologiques? Comment le droit international peut-il espérer encadrer la protection et leur prise en charge effective, s'il ne sait même pas quel statut juridique donner à cette catégorie ? Existe-il quelque solution pérenne?
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