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Les années 1917-1918 constituent l'essentiel des souvenirs de guerre d'Alexandre Poncet. Il appartient alors à l'effectif de l'ambulance 228 qui relève de l'HOE 13 (hôpital d'évacuation ou hôpital d'origine d'étapes) alors installé aux buttes près de Marcelcave dans le département de la Somme. Il accomplit diverses tâches et corvées et reste dans ce secteur, plus calme après l'offensive britannique qui vient juste de prendre fin (18 novembre 1916), jusqu'en février 1917. Au cours de ce bref séjour, Alexandre Poncet connaît l'angoisse des bombardements aériens. C'est l'un des renseignements importants de son témoignage : le voisinage immédiat du front vit sous la menace permanente des raids de l'aviation allemande de juin 1918. Le 3 juin, l'ambulance 228 est rattachée à l'HOE B/51 à Senlis. En juillet, associée à l'ambulance 15/7, elle forme un organe d'embarquement ou ?. Cette situation dure jusqu'au 10 septembre. La dernière destination d'Alexandre Poncet est Pontarcher, sur le territoire de la commune d'Ambleny, dans l'Aisne. C'est là qu'il apprend la signature de l'armistice du 11 novembre 1918 à Rethondes.
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