L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La popularité de la symphonie concertante en France coïncida exactement avec le goût d'une époque : celui du classicisme (environ 1770-1830). Le genre permit d'entendre les meilleurs virtuoses de la capitale rivaliser dans des textures instrumentales souvent étonnantes. Dès la fin du règne de Louis XVI, la musique concertante fut envisagée comme un élément publicitaire essentiel dans la stratégie commerciale de plusieurs institutions parisiennes. Sans quitter la scène du concert traditionnel - bien au contraire -, elle s'inséra parallèlement dans les représentations dramatiques données à l'Opéra-Comique et à l'Opéra. Utilisée d'abord comme divertissement pendant les entractes, cette musique fit bientôt partie intégrante des ouvrages qu'elle ponctuait jusqu'alors. Des formules hybrides apparurent, comme l'ouverture « en symphonie concertante » ou l'air avec plusieurs instruments solistes, éventuellement intégrées à des répertoires surprenants, notamment la musique religieuse de Paisiello ou Plantade pour la Chapelle des Tuileries. L'innovation la plus originale fut sans doute le potentiel chorégraphique que révéla cette musique dans le cadre des ballets-pantomimes modernes de Gossec, Catel ou Méhul.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique