Passionné(e) de lecture ? Inscrivez-vous gratuitement ou connectez-vous pour rejoindre la communauté et bénéficier de toutes les fonctionnalités du site !  

Un liberal nomme jesus

Couverture du livre « Un liberal nomme jesus » de Charles Gave aux éditions Les Peregrines
  • Nombre de pages : 188
  • Collection : (-)
  • Genre : Economie
  • Thème : Economie
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

" La seule forme de pensée économique qui soit conforme aux Évangiles, c'est le libéralisme ! " Sur cette conviction forte et politiquement incorrecte, Charles Gave nous livre un pamphlet où il analyse le texte des Évangiles en économiste qui a fait du libéralisme son credo.
" Venons-en à... Voir plus

" La seule forme de pensée économique qui soit conforme aux Évangiles, c'est le libéralisme ! " Sur cette conviction forte et politiquement incorrecte, Charles Gave nous livre un pamphlet où il analyse le texte des Évangiles en économiste qui a fait du libéralisme son credo.
" Venons-en à l'essentiel, c'est-à-dire à la question que nous posons, et qui est la suivante : si les Évangiles sont le fondement même de notre civilisation, si vraiment ils sont de tous temps et de tous les lieux, alors ils doivent avoir quelque chose à nous dire aujourd'hui sur ce qui est moral en économie ! Ils ont peut-être été trop lus et commentés par des religieux, des moralistes, des philosophes et pas assez parties économistes, et des financiers ", affirme Charles Gave.
Écrit avec fougue et mordant, Un libéral nommé Jésus n'est ni un livre de théologie ni même un livre religieux. C'est l'essai d'un économiste qui croit que l'honneur du libéralisme a toujours été de protéger les libertés civiques et économiques contre l'empiètement constant du pouvoir politique.

Donner votre avis

Avis (1)

  • N’en déplaise à certains, nos racines sont chrétiennes. Que devient un arbre sans ses racines ? Il dépérit et meurt. Celles-ci sont sous-jacentes, invisibles, oubliées parfois même niées et rejetées. Et pourtant… Lors de travaux de rénovation dans la ville de Toulouse, les ouvriers mirent à jour...
    Voir plus

    N’en déplaise à certains, nos racines sont chrétiennes. Que devient un arbre sans ses racines ? Il dépérit et meurt. Celles-ci sont sous-jacentes, invisibles, oubliées parfois même niées et rejetées. Et pourtant… Lors de travaux de rénovation dans la ville de Toulouse, les ouvriers mirent à jour de très vieilles canalisations. Ne connaissant pas leur utilité, ils les firent disparaître. En quelques jours, les caves furent inondées. Ces conduites datant de l’époque romaine fonctionnaient toujours. Et comme la ville avait été construite sur des marécages asséchés, elles étaient indispensables. Ainsi en est-il de même de nos racines chrétiennes. Et pour mieux étayer son propos, Charles Gave, reprend une à une les paraboles de l’évangile parlant d’argent, de dette, de salaire ou de crédit et arrive à prouver que le Christ avait ajouté aux commandements, un principe nouveau celui de liberté individuelle. Rien à espérer du collectif, de l’étatisme, en un mot du socialisme quelle qu’en soit sa forme, dure chez les communistes et les gauchistes ou molle chez les socialistes et les socio-démocrates. Jésus était un libéral et à ce titre, on peut le considérer comme le premier des révolutionnaires. Et sa parole de vérité est toujours d’actualité.
    « Un libéral nommé Jésus » n’est ni un ouvrage théologique, ni un ouvrage religieux, à peine un pamphlet, car le propos n’est en aucun cas outrancier. L’auteur ne cite que les Evangiles et ceux-ci sont fort clairs. Dans la parabole des talents par exemple, Dieu rejette le serviteur qui n’a pas fait fructifier son argent, Gave en conclut qu’Il bénit le travail du banquier et y voit une approbation du capitalisme et une condamnation du collectivisme. Les socialistes nient en permanence la réalité. Ils ont une vision dogmatique des choses qui ne repose sur rien de concret et ne peut mener qu’à la catastrophe. Ils estiment qu’ils doivent gouverner, car ils sont d’office dans le camp du bien, de la bien-pensance. Eux seuls savent discerner le bien du mal. Un petit ouvrage intelligent, bien conçu, plein de bon sens et parsemé de fulgurances réjouissantes du genre : « Le socialisme est mort et personne n’ose le lui dire », ou « Il y a enfin l’argent que l'on pique – vol ou impôts – à quelqu’un qui l’avait gagné et que l’on dépense pour quelqu’un d’autre. Le principe même du socialisme. En général, le résultat, c’est n’importe quoi. » Un plaidoyer compréhensible, facile d’accès, clair, net et précis du libéralisme. Une condamnation sans appel de toute forme de socialisme quelle que soit son apparence.

    thumb_up J'aime comment Réagir (0)

Donnez votre avis sur ce livre

Pour donner votre avis vous devez vous identifier, ou vous inscrire si vous n'avez pas encore de compte.