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Le Moyen Age a inlassablement commenté le Cantique des cantiques comme dialogue spirituel entre l'âme et son Epoux divin.
Superposer à cette mystique nuptiale la mystique métaphysique du Pseudo-Denys fut une initiative du victorin Thomas Gallus, promise à une grande faveur dans le monde cartusien. Le présent commentaire du Cantique (" Deiformis animae gemitus "), s'inscrit dans cette tradition, en y ajoutant l'expression d'une dévotion au Christ crucifié aux accents franciscains. Un temps attribué à Thomas Gallus lui-même, l'ouvrage doit probablement être restitué à un autre religieux de son abbaye, un " Vercellensis " dont nous ne saurons peut-être jamais le nom complet.
L'édition princeps jadis procurée par Jeanne Barbet a été revue et remaniée grâce à un nouveau recours aux manuscrits et assortie d'une traduction française due au P. Francis Ruello.
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