80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Avril 1975 : l'évacuation de Phnom Penh, tombée aux mains des troupes de Pol Pot, aura été pour Pin Yathay, un ingénieur promis à une brillante carrière, le point de départ d'un voyage aux confins de la folie.
Avec sa femme, ses enfants et les membres de sa famille, Pin Yathay connaît la déportation, les travaux forcés, la faim, la peur, les séances de " rééducation " où le moindre prétexte peut entraîner une mort immédiate. Pendant plus de deux ans, il lutte pour ne pas sombrer tandis qu'autour de lui ses proches disparaissent un à un. " Tu vivras, mon fils " : sans ces ultimes paroles prononcées par son père, peut-être Pin Yathay n'aurait-il pas trouvé la force de fuir l'enfer khmer rouge...
À l'heure où s'ouvre le procès des principaux responsables du génocide - en quatre ans, près de deux millions de Cambodgiens périrent -, ce livre, paru initialement en 1987 et publié dans onze pays, offre un témoignage irremplaçable.
roman biographique, Pin Yathay nous témoigne l'enfer kmer rouge qu'il a vécu pendant 2 ans.
Il nous fait vivre la destruction d'une société par l'endoctrinement, la violence et la rééducation.
un témoignage poignant de ce qui ne doit plus jamais se reproduire.
j'ai beaucoup pleuré car qq mois auparavant j'étais au cambodge et j'étais loin de me douter que la terre que je foulais était gorgée du sang des innocents ...
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