80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
"Réédition d'un ouvrage de 1890 tombé complètement dans l'oubli et réunissant un ensemble de vingt nouvelles mettant en scène des personnages de saltimbanques, d'indigents, d'affreux, d'estropiés, de prostituées et de gueux de tout poil. Des portraits hallucinants, vachards, politiquement incorrects, où la monstruosité ne se situe pas là où on le croit, où la normalité réside elle aussi à des endroits assez inattendus. Le tout est pétri dans une langue savamment enlevée où l'argot pratiqué par Richepin devient un art au service de l'impertinence et d'un humour souvent très noir.
""Truandailles"" offre un prolongement, en prose cette fois, à ""La Chanson des gueux"", le premier recueil poétique de Richepin qui lui a valu d'être traîné, en 1876, devant les tribunaux et d'écoper de 500 francs d'amende et d'un mois de prison pour atteinte aux bonnes moeurs."
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