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Trois ans de prépa j'ai survecu ; récit (presque) imaginaire

Couverture du livre « Trois ans de prépa j'ai survecu ; récit (presque) imaginaire » de Juliette Peuplier aux éditions L'harmattan
Résumé:

Ce livre retrace avec dérision les déboires de Juliette dans le labyrinthe ô combien sélectif et impitoyable des classes préparatoires aux grandes écoles. L'auteure a réussi à faire du récit d'un parcours austère et exigeant une épopée moderne et drôle, égratignant au passage quelques idées... Voir plus

Ce livre retrace avec dérision les déboires de Juliette dans le labyrinthe ô combien sélectif et impitoyable des classes préparatoires aux grandes écoles. L'auteure a réussi à faire du récit d'un parcours austère et exigeant une épopée moderne et drôle, égratignant au passage quelques idées reçues sur les études supérieures dites sélectives.

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Avis (1)

  • Juliette après un bac S intègre une classe prépa, la voie royale comme on dit. La bonne élève de terminale se retrouve dans la jungle de la prépa, une expérience qui peut se réveler traumatisante pour celle qui n’y est pas préparée… Les notes sont très basses, quelle surprise d’obtenir un -18 !...
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    Juliette après un bac S intègre une classe prépa, la voie royale comme on dit. La bonne élève de terminale se retrouve dans la jungle de la prépa, une expérience qui peut se réveler traumatisante pour celle qui n’y est pas préparée… Les notes sont très basses, quelle surprise d’obtenir un -18 ! Les professeurs sont loin d’être bienveillants et vous rabachent que vous êtes nulle. Quant aux camarades de classe… quels camarades ?
    A travers un récit drôle, dynamique, vivant, Juliette nous raconte son vécu de ses années prépa. Et quel vécu.
    Ayant moi aussi fait 3 ans de prépa, j’étais impatiente de voir si l’expérience de l’auteure était la même que la mienne ou que celle de mon mari.
    Pour partie, oui : le travail intense qui vous coupe de vos amis de terminale, les mauvaises notes, les Khôles, le rabaissement… tous les anciens prépas s’y retrouveront.
    J’ai plus été surprise sur la malveillance de l’ensemble de ses professeurs qu’elle décrit comme des hommes et des femmes inhumains sans vocation, interessés uniquement par leur salaire. Cette partie me laisse dubitative, elle est caricaturale et pourrait demotiver certains futurs prépas et dégouter certains professeurs qui sont à l’opposé de ce cliché.

    Quoiqu’il en soi , j’ai bien aimé ce récit très frais ; j’ai ri de ses expériences malheureuses, de sa lutte pour s’adapter dans des milieux sociaux très éloignés du sien. Et j’ai été bluffée par sa volonté de s’accrocher et de réussir, elle aurait pu abandonner 10 fois. Je me suis revue il y a 30 ans. Finalement les choses n’ont pas beaucoup évolué.
    J’y ai même retrouvé mes enfants carabins, dans le chapitre sur les révisions à la BU de médecine, et leur utilisation intensive des stabilos très particulière : « les carabins surlignaient tous leurs cours. Une logique qui m’échappait totalement, essayient ils de mettre en avant ce qu’ils ne surlignaient pas ?... toujours est-il que, me prenant pour future directrice commerciale, je me disais que stabilo aurait tout intérêt à créer des publicités destinées spécifiquement aux étudiants en medecine, indubitablement leur plus grande source de revenus » et un budget important de ces études !

    Je vous recommande donc cet ouvrage et lirai volontiers ses années école de commerce, si elle décide de les relater.

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