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Le catalogue débute par une galerie de photographies des installations que Yuya Tsukahara a créées pour l'événement : un tapis roulant sur lequel sont posés des mains et des pieds en silicone, de vieilles baskets, des dinosaures en plastique... Mais aussi un étrange mannequin-robot, des objets scotchés au mur ou encore des vidéos.
Dans son essai, Aomi Okabe, la commissaire de l'exposition, présente contact Gonzo, ses vidéos de performances entre bagarre et chorégraphie, sa transgression des codes de la danse contemporaine, sa volonté de redécouvrir la dimension sauvage du corps.
L'artiste Fabrice Hyber nous livre dans son texte ses impressions sur sa récente rencontre avec contact Gonzo lors d'un festival à Ishinomaki, ville ravagée par le séisme de 2011.
Un entretien avec Yuya Tsukahara est l'occasion de retracer son parcours et d'évoquer ses activités en solo, notamment de scénographe.
Le catalogue se termine sur des photographies des collages, des grandes bâches illustrées et des vidéos de contact Gonzo présentées dans l'exposition.
Publié à l'occasion de l'exposition éponyme à la Maison de la Culture du Japon à Paris, du 29 janvier au 28 mars 2020.
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