Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
On doit à alain sarfati, depuis 1972, de nombreux projets et réalisations ; en 2004 lui a été confiée la construction de la future ambassade de france à pékin.
Il est l'un des rares architectes à avoir fait de ses réflexions sur la ville le support d'un travail sur le logement (qu'il soit individuel ou collectif), ainsi que le fondement d'une architecture publique raisonnée. pour cet architecte, la démarche commence par une attention à l'usage. démagogie ? assurément non. si sarfati entend rendre possible pour qui l'occupe l'appropriation du bâti, et redonner tout son sens au verbe habiter, l'architecture qu'il promeut ne se départit jamais d'une intention esthétique que redouble une mise en valeur symbolique.
Le bâtiment tel que l'envisage alain sarfati n'est jamais neutre ni autonome. il est au contraire, tout à la fois objet fonctionnel, signe, et lieu d'une articulation. donner corps à ces nécessités humaines que sont la convivialité et le mieux-vivre, oui. inscrire le bâtiment dans son environnement et, au-delà, dans le mouvement du temps et l'imaginaire collectif, oui aussi. à rebours tant du néomodernisme désincarné et déshumanisant que du déconstructivisme livré pour finir à la débauche spectaculariste, alain sarfati incarne cette troisième voie qui donne tout son sens au contexte.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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