"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", nous explique Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
Théorisée de manière emblématique à travers l'interactivité, la notion de relation semble le faire-valoir des oeuvres numériques nécessitant présence et intervention du spectateur pour exister. Potentiellement inachevées, les compositions ne sont que des possibles, en attente d'une fin provisoire dans l'expérimentation singulière des interfaces. Cequi fait oeuvre est la situation déployée, la stratégie de mise en scène, et ce qui se passe entre l'acte et la réponse à celui-ci. L'objectif semble être la stimulation de nouveaux états émotionnels, tablant sur la variable intrinsèque de la participation. Dans cette conception, le spectateur devient un élément intégré à l'oeuvre. Il contribue au sentiment esthétique et à l'accomplissement de l'horizon imaginaire d'où se dégagent des sensibilités émanant d'un univers métaphorique.Collection R&D @ Arts : Une série qui propose, en formats courts, des points de repères théoriques.
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