Qui connaît encore Théodore Ozenne ? Qui sait quel homme incroyable se cache derrière la plaque qui orne la rue construite en son honneur à Toulouse, au début du XXème siècle ? L'expression " bienfaiteur de la ville " y apparaît. En effet, après avoir fait fortune dans la banque, ce modeste fils de caviste a été particulièrement généreux pour la Ville rose. Société de secours mutuels, Bureau de bienfaisance, Hospices, Mont de Piété, établissements d'enseignement de Toulouse...
: à travers tous ces organismes dont il s'est occupé, ce généreux mécène (qui fut aussi président du Tribunal et de la Chambre de commerce de Toulouse) a été pour les habitants de Toulouse un véritable " père " que l'on a oublié aujourd'hui. Pour la première fois, un ouvrage palpitant plonge dans la vie et la destinée fantastique de ce personnage terriblement attachant.
Toulousaine de naissance, amoureuse de ma ville, je ne connais pas encore tous les secrets de celle que l’on nomme la Ville Rose. Si beaucoup connaissent Claude Nougaro et son fameux « Ô Toulouse », il est des figures pourtant emblématiques de Toulouse qui restent encore peu connues comme Théodore Ozenne qui a donné son nom à une rue mais aussi à un lycée.
Théodore Ozenne : L'or et l'audace à Toulouse par Le Saux Leblanc
Grâce à la plume de Marie-Christine Lesaux Leblanc et à la biographie romancée qu’elle nous livre, nous en apprenons un peu plus sur cet homme novateur mais aussi humaniste. Grand homme d’affaire qui a gravi un à un les échelons du commerce, Théodore Ozenne est aussi un esthète qui a imprégné nombreux lieux de Toulouse de son amour de l’art et de la nature. Au fil des pages, nous découvrons cet homme, ses actions, la place importante qu’il a su prendre dans le commerce mais aussi l’art. On se laisse porter par cette histoire entre roman et biographie qui permet de découvrir les moeurs de Toulouse au XIXème siècle et on prend plaisir à rechercher dans notre mémoire géographique les lieux cités et parfois disparus.
En résumé : une biographie romancée pour les amoureux de Toulouse
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
