80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Une narratrice décrit ce qu'elle voit depuis une fenêtre de son appartement. Elle habite à Brest. La fenêtre donne sur la rue, la gare, le port industriel, la mer, la presqu'île d'en face. Elle regarde et observe : le ciel, les vents, les pluies, l'océan, le rayon de soleil qui brusquement fait chatoyer cette toute petite fraction du monde, du vaste monde où s'entrecroisent, se mêlent, se heurtent, s'ignorent, se rencontrent les flux de nos vies. Le texte suit le fil des jours et des saisons et peu à peu, indirectement, à travers ce qu'elle voit et décrit, la spectatrice se raconte. Livre singulier et miraculeux car il suffit de regarder et de dire ce que l'on a vu pour que le monde se déploie et avec lui le « je » qui nous y donne accès.
A Brest, une femme observe la rue depuis sa fenêtre, au fil des saisons.
Les passants, les nuages, la mer, les bateaux, les oiseaux.......
Ce n'est pas un roman.
Pas un recueil de poésie non plus, même si certains passages sont poétiques.
Un ovni littéraire.
La date de parution n'apparaît pas.
Les pages ne sont pas numérotées.
Les caractères d'impression sont bleu gris, comme le ciel et la mer.
J'avoue m'être plutôt ennuyée à cette lecture.
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