80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
TAPKU, utopie d'une fictivité" relate un projet photographique nomade mené en présentiel et distanciel de 2015 à 2017. Pensé lors d'une interrogation sur l'hybridation des formes de monstration, TAPKU, doit, tout d'abord, son nom à une recherche sonore en littérature. L'objet TAPKU doit sa présence à une réflexion inclusive et interactive sur la femme en représentations. Cette suite en portraits, auto-portraits et personnages issus des mondes de la scène et du jeu (cinéma, théâtre et mode) invite à une interrogation globale sur le statut de l'auteur, la place des femmes, les pratiques cultuelles et la photographie.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année