80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La réflexion engagée dans ce livre vise à repousser les limites historiques habituellement assignés à l'art informel (1945-1970) et à le considérer non pas comme un courant supposant un essor limité, mais comme un style qui perdure. Il est montré ici que la question de l'informel a encore toute son actualité, car comment comprendre aujourd'hui l'art de Tapiès ou celui de Soulages ? L'analyse s'est nourrie de l'étude conjointe des oeuvres et des écrits des trois artistes espagnols dont l'abondance prouve, tout d'abord, que les peintres ont réfléchi à leur art et à leur pratique, et que peindre, c'est aussi interroger. Elle s'est appuyée également sur les travaux des critiques d'art à l'origine de la question de l'informel (Michel Tapié, Juan Eduardo Cirlot, Jean Paulhan).
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année