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Avec ses créations, Tamy Tazi a fourni ses lettres de noblesse au vêtement marocain contemporain : caftans de cérémonie ou d'intérieur, djellabas, selhams (capes) vestes et serouals. C'est que ses modèles se situent au carrefour de deux traditions marquantes, qui résistent l'une et l'autre aux pressions du siècle.
La Haute Couture d'une part que Tamy Tazi a longtemps tutoyée en représentant celle de Yves Saint-Laurent au Maroc. Le patrimoine marocain d'autre part, non plus tel qu'il se présente au lendemain de l'Indépendance du pays, avec les prémisses de l'émancipation féminine, mais exhumé dans sa richesse et sa singularité, défolklorisé, rehaussé par le travail documentaire, la collection de pièces rares ; et de là entièrement renouvelé. Le croisement de ces deux savoirs place d'emblée le caftan sous le signe de la subversion ; l'un ensemençant l'autre de sa grammaire aussi experte que festive, et produisant un style identifiable entre tous.
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