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Au CHU de Pointe-à-Pitre, 70 % du personnel est sous l'autorité des surveillantes.
C'est pourquoi la direction a choisi ces cadres de proximité comme population-cible de sa politique de formation pour faciliter la mise en oeuvre de son projet d'établissement. Cependant, malgré des avancées évidentes obtenues grâce aux stages managériaux qu'elles ont pu suivre, les surveillantes continuent à faire l'objet de critiques, aussi bien de la part du personnel que de la hiérarchie. Ces critiques sont-elles fondées ? C'est pour tenter de comprendre les causes du mal-être ressenti par ces cadres que l'auteur, en sa qualité de responsable de la formation continue du CHU, mais aussi de sociologue, a mené l'étude présentée dans ce livre.
Repérer les difficultés que rencontrent les surveillantes dans l'exercice de leur fonction, leur difficulté d'être, permettra en effet de recentrer, voire de redéfinir leur besoin en formation managériale. Le livre débute par la présentation du fonctionnement du système-hôpital qui permet d'interpréter plus finement les paroles de surveillantes. Mais les difficultés qu'elles expriment dans leur discours, outre des causes managériales et organisationnelles, ont aussi des origines culturelles, psychologiques et individuelles.
Ce discours reflète leur vécu de la réalité hospitalière et souligne les dysfonctionnements qui entravent l'exercice de leur métier. Cependant, la plus grande souffrance des surveillantes provient du manque de reconnaissance de leur statut et de leur rôle ; donc de leur identité professionnelle, c'est-à-dire leur identité professionnelle, c'est-à-dire leur identité d'infirmière.
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