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C'est en 1957 que j'ai rencontré pour la première fois Daniel Timsit. Nous étions en pleine guerre. L'Algérie accouchait de son histoire dans la souffrance, le sang et la mort. Dans la salle 8 du Groupe pénitentiaire de Maison-Carrée, ou plus familièrement des Quatre Hectares comme le nommaient les Algériens pensionnaires, je vis un jour entrer ce nouveau locataire de ce pénitencier déjà célèbre. Tout de suite, je remarquai que c'était un Blanc. Crâne rasé, boule à zéro, d'un côté le paquetage sous un bras, de l'autre une paire de godasses suspendue à son épaule.
Par quel cheminement était-il venu se mêler à notre problème à nous, Arabes ou Berbères, noirs ou basanés, indigènes, les damnés de la terre ? Une chose était certaine, pourtant, il était des nôtres. Et tout naturellement il s'est intégré à nous.
Daniel Timsit qui porte un nom bien berbère - petite flamme en tamazigh - est un témoin vivant de l'Algérie de toujours.
Ce n'est qu'un roman, dit-il. Un roman, certes, mais un peu autobiographique, un peu véridique, et si certaines histoires ont été reconstruites, dans l'ensemble, ce qu'il en dit reflète bien ce qu'a été sa vie. Littérature agréable à lire, sur quoi ricochent des histoires vécues, à peine maquillées, nostalgiques sur fond de tristesse. C'est quoi ce livre au juste ?
Un chant à la vie ?
Mais c'est quoi la vie en fin de compte ?...
Ali Zamoum
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