"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Diffusés à partir d'octobre 1956 sur la jeune station Europe n° 1, les 250 épisodes du Boudin sacré, première saison (sur quatre) de Signé Furax, vont connaître un succès colossal - jusqu'à Guy Mollet, président du Conseil, qui, au cours d'un débat à l'assemblée nationale, lance aux députés : « Continuez sans moi, je vais écouter Furax ».
On a volé des monuments qui font la gloire de la France, remplacés par des imitations en staff : l'obélisque de la Concorde, le Lion de Belfort, les grilles de la place Stanislas à Nancy, etc. Qui est derrière cet ignoble forfait ? Les détectives Black & White, le professeur Hardy-Petit, le commissaire Socrate et d'autres mènent l'enquête, qui les conduira sur la piste de Furax et de la terrible secte des Babus, adorateurs du Goudgouz, le Boudin Sacré.
Jeux de mots navrants, situations absurdes, dialogues délirants, tous les ingrédients de l'humour du duo Dac/Blanche sont là.
Par rapport au script d'origine, Jacques Pessis a éliminé les redites nécessaires au format du feuilleton, ainsi que quelques allusions à l'actualité de l'époque, incompréhensibles aujourd'hui.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !