80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Avec ce nouveau recueil, Alain Clastres nous décrit la plénitude sans vouloir la nommer. Il ne cherche rien pour tout trouver sans y mettre les mots car ce serait encore nommer, tenter d'appréhender un réel insaisissable, non conceptuel. Alors que faire si ce n'est observer sans qu'intervienne l'observateur. Laisser les phénomènes agir en nous mais ne pas en prendre livraison. Jamais un poète n'a ainsi exprimé les choses au-delà du ressenti qui, alors, devient senti sans personne. Le lecteur n'a plus qu'à se laisser porter par ce qu'il sait intuitivement, à savoir qu'il n'y a que ce qui est, nos pensées n'étant que des objets qui vont de-ci de-là pour raffermir nos croyances.
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