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Dans les années soixante, les caractéristiques des signaux transmis sur les lignes des équipements électroniques étaient les suivantes :
- bas niveaux (de l'ordre de quelques dizaines de millivolts) ;
- basses fréquences (B.F.) (inférieures à 1 kHz). L'architecture était du type étoile, sous la forme de capteurs passifs raccordés à un appareil électronique.
Ce qui était à craindre, c'était la « ronfle » à 50 Hz. Les perturbations à hautes fréquences n'engendraient pas de dysfonctionnements bloquants, car un circuit analogique retrouve son point de repos lorsque la perturbation cesse. À l'heure actuelle, les signaux transmis sur les lignes des équipements électroniques ont plutôt les caractéristiques suivantes :
- hauts niveaux (de l'ordre de quelques volts), ou jusqu'à une valeur d'environ 15 V sur des paires symétriques insensibles au mode commun B.F. ;
- hautes fréquences (H.F.) (très au-delà de 50 Hz).
L'architecture est de type bouclé, c'est-à-dire que les appareils communiquent entre eux. On craint donc les perturbations transitoires à hautes fréquences et non plus à basses fréquences. De plus, les perturbations sont maintenant bloquantes, car elles agissent sur des circuits logiques. On constate donc que l'électronique actuelle est à l'opposé de l'électronique des années soixante. Il faut par conséquent appliquer des règles de raccordement des masses qui sont à l'opposé de ce que l'on a pratiqué jusqu'à maintenant. À titre d'exemple entre autres, le blindage (l'écran) des câbles de données doit être raccordé à la masse des équipements à ses deux extrémités.
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