Il n'y a pas de vie sans organisation.
La société, depuis la cellule familiale jusqu'à l'Etat en passant par le lycée et le syndicat ou l'entreprise, symbolise cette organisation. Lorsque la société est en crise, il est légitime de s'interroger sur la part de responsabilité qu'y ont les diverses formes d'organisations. Si celles-ci sont en cause et doivent être repensées, sur quels critères, dans quelle direction (pour quels buts), à quel rythme peut-on les faire évoluer ? Les systèmes qui structurent nos sociétés sont-ils en mesure d'accompagner la mutation dans laquelle nous sommes engagés ? Au prix de quelles évolutions, avec quels inconvénients ? Ou bien nous faut-il tout repenser, en partant du haut - l'organisation politique et administrative de la société - jusqu'au bas que représente la " société civile " ? Il semble qu'il y ait urgence à s'intéresser de plus près à ces questions.
Tel est l'objet de ce numéro d'AGIR.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !
