80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Après les attentats du 11 septembre 2001, on a vu le mot rat envahir la presse américaine pour désigner les terroristes. Cette année de sinistre mémoire, le New-Yorkais Robert Sullivan l'a passée à épier le quotidien d'authentiques surmulots dans une ruelle de Lower Manhattan. Pour percer l'âme et le passé de sa ville, il a choisi de comprendre les plus indésirables et mystérieux de ses concitoyens, ces rats gris descendus de bateau au XVIIIe siècle avec les mercenaires allemands engagés par les Anglais durant la guerre d'Indépendance. Dans l'espace et le temps, ce drôle de journaliste à la plume de romancier nous promène à travers les labyrinthes d'un New York où les dératiseurs sont plus surmenés que les financiers de Wall Street.
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