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«Quand j'ai commencé à travailler avec David Mercer à partir du premier script de Providence, il m'a demandé d'y prendre à la manière d'un ferrailleur tout ce qui m'intéressait. Nous avons repris l'ensemble en conservant uniquement les personnages. L'un se meurt, les autres s'interrogent sur cette mort prochaine. Clive, le vieil écrivain, refuse de se laisser aller et le film décrit son combat contre la mort : plutôt qu'un film sur la mort, Providence est un film sur la volonté de ne pas mourir. Mais Clive a cette obsession (qui sera la nôtre en atteignant son âge) que les jeunes le poussent dehors, veulent le tuer. Dans les fantasmes de cinq heures du matin, d'une longue nuit de maladie et de spasmes, Clive réinvente son passé, emmêle les lieux où il a vécu, utilise comme héros de fiction ses proches parents et ses amis, qui n'obéissent pas pour autant aux caprices de sa fantaisie. L'une des questions que pose le film est celle-ci : sommes-nous ce que nous pouvons être, ou devenons-nous ce que le jugement des autres fait de nous ?» Alain Resnais.
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