80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Il y a trente-cinq ans, Anne Henry (Marcel Proust - théories pour une esthétique, Paris, Klincksieck, 1981) suscita une révolution en affirmant que l'auteur d'À la recherche du temps perdu (1913-1927) faisait parcourir, de façon très concertée, à son héros sans nom, un itinéraire schellingien (soit une odyssée de l'esprit, couronnée par l'élaboration d'une oeuvre). Cette affinité élective, qui fut souvent contestée sans enquête systématique, est ici réévaluée par un groupe composé essentiellement de philosophes, au plan historique comme au plan conceptuel (conception du temps, morale, esthétique), et en étendant la confrontation jusqu'aux Âges du monde et à la philosophie positive schellingienne.
Ont participé à ce volume : G. Bensussan, A. David, P. David, G. Demarchi, L. Fedi, L. Fraisse, J. Hatem, Ph. Höfele, A. Roux et A. Sager. Gérard Bensussan et Luc Fraisse (dir.)
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