"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans l'exposition Présenter l'irreprésentable proposée par Jean-Jacques Lebel, ce dernier s'associe à Alain Fleischer et Danielle Schirman pour aborder la question de la responsabilité de l'artiste dans son rôle de penser et de traduire le monde. À l'heure où l'actualité exhibe l'« irregardable », comment l'artiste plasticien se débrouille-t-il de ou avec l'irreprésentable - la mort et la violence, mais aussi bien le désir et le sexe ?
Autour du Grand tableau antifasciste collectif réalisé en 1960 pour dénoncer la torture en Algérie par Baj, Crippa, Dova, Errò, Lebel et Récalcati, se côtoient des oeuvres des trois artistes (certaines inédites ou repensées pour l'exposition, d'autres créées spécialement et à plusieurs mains) : hommage aux soldats morts lors de la Grande Guerre (Alain Fleischer), Labyrinthe parmi les célèbres photographies des tortionnaires d'Abou Ghraib (Jean-Jacques Lebel), orchestration des métamorphoses du corps féminin (Les avatars de Vénus, Jean-Jacques Lebel), images animées d'un livre à systèmes sur l'univers érotique des libertins du XVIIIe siècle (Théâtre pour la main de Danielle Schirman).
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