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Polina n'aspirait qu'à être heureuse, modestement. Elle n'avait pas l'étoffe d'une héroïne, mais la droiture, la verticalité d'une femme et d'une mère. Après une enfance à Odessa, la petite Ukrainienne s'est trouvée catapultée en Bessarabie (la Moldavie actuelle). Cette province, constamment tiraillée entre la Russie et la Roumanie, l'a accueillie, l'a charmée, mais l'a finalement broyée. L'histoire personnelle de Polina (1882-1941) accompagne et éclaire de grands moments de l'Histoire.
Après celle de son père, Gricha, dans Celui qui déplaçait les montagnes, Suzanne Ghersenzon-Spénale raconte sa « jeune grand-mère », Polina. L'autrice ne l'a pas connue, mais elle s'est immiscée dans sa vie à travers ce qu'en disait son propre père. Par les voies de la littérature et d'une mémoire collective des événements, elles se sont enfin rencontrées. Leur dialogue nous touche par cette vérité qui résiste au temps et trouve, encore et toujours, ses racines dans l'actualité.
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