L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Le sixième numéro de la revue annuelle mêlant graphisme, édition et architecture se consacre au thème double du « Minimal & Maximal ».
Le minimal décrit ce qui atteint son plus bas degré ; quant au maximal, il incarne la valeur la plus haute, l'échelon maximum. Pour autant, le minimal décrit-il un effacement, ou une épure extrême?? Face à cela, doit-on considérer ce qui est maximal comme un excès ou une tentative d'épuisement d'un sujet?? Selon le point de vue, le minimal et le maximal se complètent, s'opposent, s'attirent ou se répondent. Quels liens peut-on alors créer entre ces deux (termes) extrêmes?? Comment les appréhender par le prisme de l'architecture, de l'édition et du design?? Comment une publication peut-elle se saisir de cette opposition, à travers un objet éditorial inédit et singulier??
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