80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
« Je voudrais aider la maîtresse... » C'est ainsi que débute ce beau roman pétillant d'enfance. Le héros, un jeune garçon qui pourrait être chacun d'entre nous, nous dévoile, page après page, son monde à lui. Un monde fait d'amour, de tendresse, de coups durs, et de beaucoup d'humour : « La première fois que je suis allé à la grande école, c'était il y a deux ans. Je disais la grande école pour faire plaisir à mes parents ! Eux, ils croyaient que je savais pas que c'était l'école élémentaire, alors que c'est écrit dessus ». Dans ce roman fortement autobiographique, Andras Fenris nous parle de notre propre existence, de ce passé qui nous colle à la peau, du garage à Lulu, de la Triumph, des vinyles de la Callas, de Rex le chien perdu... de l'amitié et de la mort. Une belle tranche de nostalgie...
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