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Dans ce Petit traité de philosophie charcutière, il est question de saucisse de Morteau, de fromage de tête, d'andouillette à la ficelle, de sabodet, de jambon de Paris voire de Bayonne, de vol-au-vent, de friands, de petits pâtés de Pézenas, de boudins en noir et blanc, de pieds et de paquets, de rilles et d'oreilles de porceaux (qu'on nomme en français contemporain « rillettes »).
à travers 10 chapitres mis en images par Vincent Sorel, Petit traité de philosophie charcutière entend bien répondre avec humour et « nonsense » aux grandes questions philosophiques, politiques et sociales que se pose nécessairement tout amateur de charcuterie moderne.
La charcuterie a-t-elle un but ?
Peut-on aimer la charcuterie sans la comprendre ?
Peut-on faire l'éloge de la charcuterie ?
De quelle liberté la charcuterie témoigne-t-elle ?
L'amour de la charcuterie nous est-il naturel ?
Y a-t-il un droit à la charcuterie ?
L'action politique doit-elle être guidée par la connaissance de la charcuterie ?
Pouvons-nous nous passer de la charcuterie ?
Cette dernière question est peut-être moins farfelue qu'il y paraît. Après tout, imaginons un instant que la « pénurie-llette » nous guette. Qu'il n'y ait plus que des pommes et pas de boudin. De la frisée, mais pas de lardons. Des oeufs, certes, mais guère de bacon. Des baguettes pleines de cornichons - mais rien pour aller avec.
Si ces pistes de réflexion peuvent donner l'impression à un lecteur distrait que l'abus de charcuterie nuit à la santé mentale, il n'en est bien évidemment rien.
Ancrée dans notre histoire et notre culture, la charcuterie recèle des trésors patrimoniaux insoupçonnés, que cet ouvrage se propose de faire découvrir en empruntant quelques chemins de traverse - parfois réalistes, plus souvent surréalistes.
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