80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
C'est sans doute au cours des années 1960 que le média peinture a commencé à se cannibaliser et qu'il est ainsi entré dans cette boucle dont il n'est pas encore sorti de répétition, mutation et transformation où sa déformation devient la proie de déformations répétées à l'infini. Peter Saul (*1934 à San Francisco) est l'un des principaux protagonistes de ce processus de déformation, sans cesse et toujours à tort imputé exclusivement au Pop Art. Il n'en a pas moins créé dans son oeuvre picturale autant que graphique un amalgame complexe de haute culture et de contre-culture qui réunit bande dessinée, pop, surréalisme, expressionisme abstrait et la critique radicale (et parfois absurde) de la société qui est celle des « rebelles du haschich ». Ce type de peintre n'a jamais compté parmi les partisans de Reagan ou des Bush, néanmoins, réduire son travail à l'agit-prop politique reviendrait à ne pas voir dans ses tableaux l'impulsion hédoniste d'un désir de composition parfois baroque.
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