"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans cette «rue Passante» d'une ville anonyme, un homme est assis devant une table, entre les murs nus d'un petit magasin nouvellement ouvert. Dehors, de chaque côté de l'entrée, il y a des bacs emplis de fleurs. Dans la vitrine, un écriteau enseignant d'après Diderot qu'«Il n'y a qu'un devoir, c'est d'être heureux». L'homme se nomme Théodore, il est marchand de bonheur, c'est-à-dire qu'il ne vend rien et donne tout. La méchanceté et la calomnie sont naturellement ses premières visiteuses. Il faudra à Théodore beaucoup de patience et d'amour de l'humain pour attirer à lui la confiance et la bonté. Mais le temps viendra où, grâce à cet échange qui mêle la mystique et la logique, une possibilité de compréhension mutuelle se répandra dans toute la rue et y fera naître le bonheur. C'est la Permission d'être heureux proclamée aux laids, aux pauvres, aux infirmes, aux mal-aimés ! La tendresse humaine jointe à la plus grande intensité d'évocation font de cet original roman une raison de croire et d'espérer en l'homme.
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