"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'intérêt des « Elvis movies », 31 films entre 1956 et 1969, réside dans la cinégénie du chanteur : il capte la lumière, incarne quelque chose d'impalpable, une énergie particulière. L'Elvisploitation relie la fin d'un âge d'or, où trônaient les deux héros d'Elvis, Marlon Brando et James Dean, à l'apparition du Nouvel Hollywood dans lequel il n'aura plus sa place. Le King passe à l'écran du statut de rocker à celui de crooner, de la figure du rebelle sans cause mais plein de panache à celui d'une star de pacotille et rassurante. Loving You, Jailhouse Rock, King Creole à Wild in the Country, Easy Come Easy Go, en passant par Roustabout et Frankie & Johnny, la filmographie d'Elvis recèle son lot de curiosités et de hasards plus ou moins heureux, de dérapages drôles ou intrigants.
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