"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En 2009, l'artiste Thomas Sauvin se lance dans une aventure hors du commun : collecter des négatifs destinés à être détruits dans une zone de recyclage au nord de Pékin. Il achète des sacs au kilo qu'il trie, classe et restaure. Il sauve ainsi de l'oubli près d'un demi-million de photographies anonymes, réalisant à lui seul l'un des travaux d'archive photographique les plus importants en Chine. Sa collection, qu'il nomme «Beijing Silvermine», rayonne depuis au travers de multiples expositions, collaborations et publications. Elle offre ici encore matière à une nouvelle exploration : montrer la vie des Chinois et des Chinoises au fil des âges de la vie. L'artiste et romancier François Durif accompagne ces images anonymes d'un texte sur la trace et la mémoire.
Percevoir (verbe tr.) : saisir, prendre connaissance par les sens, l'intuition ou l'entendement. Les Éditions de La Martinière encouragent les nouveaux talents de la photographie et des arts visuels à travers « Percevoir », une collection de livres qui porte un autre regard sur l'image : mouvante, fragmentaire et multiple, comme le monde qui nous entoure. À chaque artiste, une réponse singulière. Une collection dirigée par Simon Baker, directeur de la maison européenne de la photographie.
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