"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Rendue célèbre par les romans de Pierre Loti et les chansons de Théodore Botrel, la pêche morutière « à Islande » (comme on disait autrefois) a constitué, durant toute la seconde moitié du XIXe siècle, la grande nouveauté économique de la côte nord de la Bretagne. Ayant ouvert la voie en 1852, Paimpol devenait le port islandais par excellence et entraînait dans son sillage les autres ports de la baie de Saint-Brieuc : Dahouët, Binic, Le Portrieux, Le Légué ; ainsi qu'au-delà de la baie, Tréguier et Saint-Malo. Sans pour autant abandonner Terre-Neuve qu'ils fréquentaient depuis plusieurs siècles, ces différents ports expédièrent dès lors, chaque année, à Islande des centaines de goélettes. Aventure étonnante qui allait marquer de façon durable non seulement le littoral, mais encore l'arrière-pays qui participait à l'armement de ces flottilles et où se recrutaient nombre d'Islandais.
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