80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Paul Celan, au sortir d'une histoire échouée à Auschwitz, a tenté de dire le saccage de l'humain âmes sous matricules, visages devenus cendres tout en formulant l'hypothèse paradoxalement mystique d'une fin de la foi. De l'hébraïsme, Celan privilégie ce qui va faire de son travail une des entreprises poétiques les plus subversives de notre temps : la capacité à questionner l'Infini, à refluer par le langage jusqu'au champ initial de l'être. D'un recueil au suivant, Celan pose des seuils de verres : par-delà, c'est le règne de l'Invisible qui s'ouvre le règne d'une contre histoire dont il revient au poète de décrypter les lois.Laurent Cohen, 33 ans, écrit à Jérusalem. A publié un essai sur le conflit identitaire chez Kafka (Variations autour de K., Intertextes, 1991). Travaille à un cycle de monographies mystiques, dont deux volumes ont déjà paru : Le roi Salomon (Seuil, 1997, traduit en plusieurs langues) ; et Le roi David, suivi de David, poète parfait, par Elie Wiesel (Seuil, 2000).
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