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Le devoir d'oubli, une notion qui ne peut manquer de provoquer.
Le risque est d'y voir un manque de respect pour le passé et ses représentations. Pourtant le devoir d'oubli reflète d'abord une réalité, celle de l'effacement dans le temps. Tout ne peut être gardé. II est impossible de se souvenir de tout. La conservation à tout prix n'est pas souhaitable ; elle est économiquement impossible et sociologiquement absurde. Pour Nietzsche dans son livre Seconde considération inactuelle, ce devoir correspond au besoin de "fixer la limite où il devient nécessaire que le passé s'oublie pour ne pas enterrer le présent".
Perte de documents, disparition de vestiges, transformation du territoire, autant de faits pour souligner ce devoir d'oubli qui suppose de s'engager dans un choix volontaire de conservation qualitative. Mais un oubli pour combien de temps ? Des universitaires et des praticiens apportent leurs réflexions et leurs expériences.
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