80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Née en 1962 à Angers, cinquième et dernier enfant de la fratrie, j'ai vu mes parents se déchirer depuis ma petite chaise haute en bois ; j'avais un an et demi.
Après l'absence d'un père, ce fut la déchirure avec le père de mon enfant qui fut et restera mon unique fils.
Appartenant à une génération de femmes privilégiées, pouvant goûter à une certaine liberté, je connaîtrai aussi, sur le chemin de la vie, désillusions et épreuves multiples.
Pourtant, envers et contre tout, un souffle de vie extraordinaire m'a toujours animée, grâce à l'affection reçue dans mon enfance, de ma mère d'abord, et de mes frères et soeurs.
Ces quelques poèmes pour l'essentiel traduisent mon chagrin, à un moment où ma vie a basculé de façon irréversible, comme s'il fallait absolument que je m'en souvienne. Comme un grand malheur qui pourtant m'ouvrira un autre champ de « possibles » et m'obligera à me relever et à affronter la vie avec courage.
Avec, pour seul soutien, cette recherche éperdue de l'Amour avec un grand « A » pour ne pas sombrer.
Anna KERNER Qui a dit :
« Tout n'est que rêve Tout disparaît Sauf l'écriture. »
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