80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Les reportages conventionnels montrent toujours des maisons apprêtées. La spontanéité de ceux qui les habitent souvent s'efface au détour d'un exercice de style.
Ici, c'est tout le contraire : on n'attend pas le coup de sonnette du fleuriste. Ces living rooms sont des instantanés sans artifice, des portraits démaquillés.
Comme un voleur, le photographe s'est introduit sans bruit, pour dérober l'intimité de ces pièces laissées telles quelles.
Le reportage sauvage domine ces photos d'identité sans complaisance. La démarche frôle le cambriolage, l'illégal, presque agressif. Pourtant, chaque image est acceptée à l'avance, avec le petit risque pour l'occupant des lieux de ne pas se reconnaître. Ne soyons ni nerveux, ni inquiets, Dominique Nabokov accomplit ici une subtile démarche conceptuelle, adoucie par de volontaires insouciances techniques.
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