80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Moi, Jean Cafiou, paysan berrichon, je ne voudrais pas quitter ce monde sans laisser un souvenir de moi, sans raconter ce que fut ma vie de travail, et parfois de misère, à travers trois guerres et des temps beaucoup plus durs que de nos jours. C'est pourquoi j'ai fait venir ma petite-fille Marie qui a appris la sténodactylo. Apporte un cahier et un crayon, lui ai-je dit, j'ai quelque chose à te faire faire, et c'est urgent, car je ne sais pas le temps qui me reste à vivre. Jean CAFIOU Mon grand-père, Papa Jean, comme nous l'appelions, m'a dicté son livre en 1945. L'ayant mis au clair, puis étudié, j'ai trouvé la tâche trop ardue et je l'ai laissé en attente. Trente ans plus tard, je l'ai relu. Tant d'années ayant passé, il m'a semblé que ce témoignage de la vie des paysans pauvres avait pris valeur de document. Marie CARTIER-OBCOWSKI
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