Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Quarante ans ont passé depuis le temps où j'écrivais ces notes dans une baraque de l'Oflag IV D, et que mes parents et mes amis publièrent en France sous l'Occupation. Ces feuilles se sont détachées de moi; je ne les ai jamais relues. Maintenant je les examine, comme s'il s'agissait de l'écrit d'un mort. Et je voudrais tenter de porter sur ce livre passé un jugement équitable. A la fin de sa vie saint Augustin recensait les livres qu 'il avait écrits : il appelait cet examen : Rétractation. Ce qui ne veut pas dire "condamnation", mais autocritique, jugement de soi par soi.
Ce qui m'attache à ce "Journal de captivité", c'est la souffrance qu'il m'a causée : la cicatrice, qui demeure encore. Et qui n'est pas sans rapport avec ce trouble de l'esprit qui subsiste encore dans l'inconscient de la France, depuis la Libération, l'empêchant d'être pleinement unie à elle-même.
Jean Guitton
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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