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Parmi les poètes contemporains mis en musique par Massenet, Paul Mariéton (1862-1911), poète provençal et fondateur de la Revue félibréenne (1895), occupe une place singulière. Les deux hommes se connaissent depuis 1884 alors qu'ils envisagent la composition d'un opéra d'après la nouvelle Nerto de Mistral, projet abandonné en 1890. Néanmoins, Massenet et Mariéton continuent de se fréquenter puisqu'ils font publier trois mélodies pour chant et piano : Ne donne pas ton coeur (1892), Séparation (1895) et Souvenance (1897). Or, cet ensemble se complète d'une autre mélodie qui, inédite et non répertoriée, nous est parvenue par le biais de différentes sources.
Cette mélodie ne sera jamais éditée. Massenet informe Mariéton « qu'il y a scission entre Hartmann et [Paul] Milliet », ce qui entraîne peu après la faillite de l'éditeur. Massenet composera d'autres mélodies à partir de poèmes de Mariéton, mais elles seront éditées séparément par Henri Heugel à partir de 1892, comme Séparation et Ne donne pas ton coeur qui constituaient, jusqu'à ce jour, les premières mélodies marquant les débuts de la collaboration chaotique entre Massenet et le poète félibre.
Manon Bertaux
sous la direction scientifique de Jean-Christophe Branger et Nicolas Moron
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