Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Le premier procédé industriel de photographie en couleur est présenté sous le nom d'Autochrome Lumière en juin 1907. Aussitôt, l'explorateur photographe Jules Gervais-Courtellemont s'en empare. Ses premières plaques autochromes seront ottomanes. Projetées à Paris au cours de conférences qu'il émaillait de citations de son ami Pierre Loti, elles révélèrent de " magiques " Visions d'Orient, de cet Orient qu'il chérissait et sillonna à maintes reprises.
Si beaucoup de ces autochromes sont fortement imprégnées d'orientalisme, certaines, souligne Emmanuelle Devos, témoignent aussi du constant intérêt porté par Gervais-Courtellemont aux évolutions politiques et sociales du Moyen-Orient. Face à ces images, Enis Batur, pour sa part, perçoit les sons et les odeurs d'Istanbul au début du siècle dernier, ville " épuisée par ce qui lui est arrivé, inquiète déjà de ce qui la guette ", tandis que Timour Muhidine imagine une errance dans l'empire finissant, de Constantinople à Jérusalem, via Konya et Damas.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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