"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
La vie, c'est la vie, et l'art, c'est l'art.
"Je souhaite approcher de près, au plus près, l'époque dans laquelle nous vivons, sans me soumettre au dogme artistique. J'ai besoin de la connexion au monde des sens, du courage de dépeindre la laideur, la vie comme elle vient." - Otto Dix.
Dans les années 1920, Otto Dix était l'artiste de la Neue Sachlichkeit, la nouvelle objectivité, par excellence. Dans un style très réaliste, quasi photographique, il a choisi de peindre la pauvreté, la violence, la mort et la guerre qu'il avait vécue en première ligne en tant que soldat pendant la première Guerre Mondiale. C'est suite à cette terrible expérience qu'il a peint le fameux triptyque La Guerre.
Dix a choisi de représenter le monde comme une pièce de théâtre, une farce grotesque. Mais la forme qu'il a choisie pour le faire était fondée sur les canons classiques de la beauté. Dix a vécu sa vie et servi l'art, adhérant à la règle séculaire que le peintre américain Ad Reinhardt a parfaitement résumée : "La vie, c'est la vie, et l'art, c'est l'art".
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !